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Chronique. Un thé avec la maman de Jawad

Même balancés par la douceur d’un verre de thé, certains récits conservent toute leur amertume.Azerbaijan Stockers/Freepik

Michaël Perruchoud

Michaël Perruchoud

29 mars 2024 à 00:00

Temps de lecture : 3 min

A Beyrouth, j’ai eu la chance de rencontrer Jawad. Il fumait accroupi sur le trottoir, à côté de sa voiture. Il était ouvrier quand on voulait de lui sur les chantiers, faisait taxi quand il y avait moins de boulot. Parce qu’il n’y a pas de contrat à long terme pour les Palestiniens. «C’est comme ça, un jour après l’autre!»