14 janvier 2022 à 02:01
Déjà complètement sidérée lorsque j’ai appris que la Société des tireurs à la cible de Payerne a refusé d’intégrer des femmes, je le suis plus encore face à la réaction des filles de la Jeunesse (lire courrier des lecteurs du 11 janvier, «La parole aux filles de la Jeunesse»)?
Sommes-nous en 1950? Peut-être qu’être «demoiselles d’honneur» vous suffit, mais devoir se désolidariser de femmes qui aimeraient tirer avec les hommes, c’est impensable à mon avis.
En outre, dans le cas présent, ne pas prendre parti équivaut à prendre le parti de la Société des tireurs à la cible et des idées de la majorité de ses membres que je trouve complètement désuètes, je ne vous apprends rien.
Je suis certaine que ce n’est pas d’un simple week-end dont les Adélaïdes ont besoin, mais tout bonnement d’une meilleure considération en tant que femmes dans ce milieu encore trop masculin.
Lola Moura,
Pringy
Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus