Il y a tous ces bouquins et bandes dessinées du type Devenir papa pour les nuls, Guide du papa pas parfait ou La grossesse côté papa. Et puis, les podcasts, Papatriarcat en tête, ou encore ces comptes Instagram qui dévoilent les vulnérabilités de la paternité comme @papa.plume. On aurait ainsi pu penser qu’elle était actée, cette révolution des papas investis. A force de les voir cuisiner, passer l’aspirateur et faire les fous avec leur progéniture sur les réseaux sociaux.

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Entre envies et pratique, ce n’est pas si simple que cela, avertissent cependant les spécialistes. «D’après nos recherches, de plus en plus d’hommes revendiquent cette identité p