9 septembre 2022 à 04:01
Les réseaux sociaux sont une belle chose, mais il y en a qui s’en servent pour se faire remarquer, attirer l’attention et se poser en victimes (imaginaires) et ne se gênent pas d’y impliquer d’autres personnes qui n’ont rien à voir là-dedans à l’aide de fabulations, éléments fabriqués de toutes pièces (e-mail trafiqué), fausses accusations, etc.
Ces gens n’ont pas l’objectivité suffisante envers leurs écrits (planétaires) et, pour eux, seules leurs affirmations comptent et ils se mettent dans un état second face à tout autre avis.
Des tiers se laissent entraîner là-dedans, jugent et commentent sans même savoir de quoi il s’agit ni vouloir entendre les deux versions d’un problème qui ne les concerne pas. Ils devraient se poser la question suivante: «Cela est-il vrai?» Mais suivre sans réfléchir est tellement plus facile.
Cela fait que les réseaux sociaux sont un bouillon de culture où le mensonge et la désinformation sont de plus en plus présents, répétés par des personnes à la moralité douteuse. Mais comme on dit, plus le mensonge est loufoque et délirant, plus le nombre d’adeptes qui ne se posent pas de questions et gobent ces fadaises augmente.
Ça me fait penser à ce pays dont l’armée a rendu «visite» à son voisin et dont les dirigeants nous servent continuellement des affirmations totalement burlesques puis, pris sur le fait, nous sortent un mensonge encore plus gros que le précédent.
Voilà où en sont les réseaux sociaux où j’ai personnellement eu affaire à une personne toxique et fabulatrice à l’extrême.
Philippe Audergon,
Villars-sous-Mont
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