Attaque rare et frontale. «L’UDC a franchi une ligne» en demandant la démission de Viola Amherd
Le Centre n’est pas content du tout. Il s’en prend à l’UDC, qui a «violé les règles des institutions suisses», dénonce le président du parti, Gerhard Pfister.
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13 janvier 2025 à 17:00
Temps de lecture : 4 min
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L’attaque est rare. Frontale. Un parti représenté au gouvernement qui demande la démission de la conseillère fédérale d’un autre parti, voilà qui heurte les habitudes politiques de la Suisse… C’est l’UDC, premier parti du pays et doublement présent au Conseil fédéral, qui a lancé cette grosse flèche samedi, dans un communiqué acerbe, après une réunion des cadres du parti sur la sécurité dans le pays.