Volleyball. Les belles promesses ont rendu les Power Cats de Guin malheureux
Un trou de 200 000 francs dans la caisse et un manque criant de bénévoles: le club singinois se questionne sur son avenir en ligue A. Explications.
Le visage des Power Cats de Guin a changé, pas la mentalité
Les joueuses singinoises retrouvent la ligue A samedi, avec l’incertitude liée à des changements majeurs
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Jonas Ruffieux
5 octobre 2023 à 18:55
Temps de lecture : 1 min
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Volleyball » Pour le fidèle public du Leimacker, il y aura sûrement beaucoup de curiosité et énormément à analyser, samedi (17h) à l’occasion de la reprise du championnat de ligue A. Ce public, qui avait pour habitude de voir Dario Bettello à la baguette de Power Cats emmenées par Nicole Eiholzer, Elena Steinemann ou Mita Uiato.
Celui-là même qui a assisté, le printemps passé, à une finale de championnat qui a marqué la fin d’un cycle. Celui qui, enfin, ne sait pas vraiment ce qu’il peut attendre de ses protégées cette saison.
La situation: une équipe remodelée
Dire qu’il y a eu du mouvement à Guin constitue un euphémisme. Seules cinq vice-championnes de Suisse ont prolongé leur bail, tandis que l’entraîneur Leonardo Portaleoni a débarqué en provenance des Franches-Montagnes. «Il y a autant d’excitation que de nervosité», souffle Noemi Portmann, l’une des rares «rescapées» d’un été animé.
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