9 juin 2024 à 21:53
Temps de lecture : 2 min
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Quand, en 2021, il a déboulé sur le circuit professionnel, le public a d’abord vu ses dents, qui ne sont pas spécialement blanches ni parfaitement agencées, mais qui ont l’immense mérite d’être apparentes. Fougueux et insouciant, Carlos Alcaraz était l’ado qui souriait tout le temps, après un long échange ponctué d’un point gagnant – un amorti de coup droit, son coup signature? – le plus souvent.