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Tennis. Sinner n'est pas "à l'aise" avec son affaire de dopage

Le no 1 mondial Jannik Sinner a dit qu'il n'était pas "à l'aise" avec l'affaire de dopage qu'il pensait terminée. Mais l'Italien s'est dit prêt pour son premier match au Masters 1000 de Shanghai.

Jannik Sinner n'est pas à l'aise avec cette histoire de dopage qu'il pensait terminéeKEYSTONE/AP/Ng Han Guan

ATS
AFP

ATS et AFP

Aujourd’hui à 10:33, mis à jour à 10:43

Temps de lecture : 2 min

"Ce n'est pas une situation dans laquelle je me sens à l'aise, c'est sûr, parce que je pensais que c'était fini... donc ce n'est pas facile", a indiqué Sinner en conférence de presse avant ses débuts à Shanghai contre le Japonais Taro Daniel.

Alors qu'il avait été blanchi par l'Agence internationale pour l'intégrité du tennis (Itia) après avoir été contrôlé positif à deux reprises au clostébol, un stéroïde anabolisant, Sinner a été rattrapé par cette affaire. La semaine dernière, l'Agence mondiale antidopage (AMA) a annoncé avoir fait appel et réclame une suspension d'une à deux années du joueur italien.

En pleine polémique, le joueur de 23 ans a atteint la finale du tournoi ATP 500 de Pékin, perdue mercredi contre l'Espagnol Carlos Alcaraz.

Dans cette affaire, l'Italien s'était défendu en expliquant avoir subi "une contamination par un membre de son staff, qui avait appliqué sur sa propre main un spray en vente libre contenant du clostébol pour soigner une petite blessure", selon l'Itia qui a accepté sa défense et l'a officiellement blanchi fin août.

"J'ai eu trois audiences, qui sont allées dans mon sens, ce qui est une bonne chose, mais maintenant nous allons voir ce qu'il en est. Mais j'ai bon espoir que l'issue soit très positive", a affirmé Sinner vendredi.

Sinner s'est dit "en pleine possession de ses moyens" avant d'attaquer le tournoi de Shanghai, où il avait été éliminé dès les huitièmes de finale l'an passé.