Vainqueur pour la première fois en Coupe du monde le 28 décembre à Bormio, le Veveysan de 25 ans arrive à Wengen tout auréolé d’une gloire qu’il cherche à relativiser.
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Pascal Dupasquier, Wengen
Aujourd’hui à 18:01, mis à jour à 19:42
Un attroupement de jeunes fans qui tendent le stylo à son arrivée du train (c’était lundi) en provenance de Lauterbrunnen. Des médias en masse qui débarquent micros et caméras au clair (c’était mercredi soir) au point presse de Swiss-Ski: pas de doute, Alexis Monney est entré dans une nouvelle dimension après son premier succès en Coupe du monde, le 28 décembre, dans la descente de Bormio. Confirmée le lendemain par une 3e place dans le super-G, cette victoire a propulsé le Châtelois de 25 ans au sommet de l’affiche à Wengen, lequel espère le voir briller sur le Lauberhorn ce vendredi en super-G, et surtout samedi dans la descente. Pas de quoi déstabiliser le placide Veveysan qui, il le dit en interview, reste le même Alexis qu’avant.
Cyprien Sarrazin «progresse» et «communique», ont expliqué ses coéquipiers réunis dans la station de Wengen. Le Français s’est gravement blessé à la tête lors d’une chute fin décembre à Bormio.
