A Ambri et comme la veille face à Lausanne, Gottéron menait après 40 minutes, avant de paniquer. «Deux bonnes claques», résume Pat Emond, inquiet de la fragilité mentale de ses protégés.
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Jonas Ruffieux, Ambri
Aujourd’hui à 13:47, mis à jour à 14:41
Pourquoi paniquer ainsi? Parfaitement lancé après 40 minutes (2-1) sur la glace d’un Ambri-Piotta en pleine crise – battu neuf fois lors des dix dernières sorties –, Fribourg-Gottéron avait tout en main pour signer une victoire capitale à l’extérieur, samedi. En craquant complètement dans une 3e période perdue 4-1, en encaissant trois buts en l’espace de 3’36, le Dragon a confirmé qu’il souffrait d’un mal profond, que les probantes victoires face à Berne et à Davos la semaine précédente n’ont pas suffi à guérir. «Je pensais aussi que le déclic s’était opéré», admet Pat Emond.
Roman Josi a brillé samedi en NHL. Le capitaine de Nashville a signé un doublé dans un match gagné 4-1 par les Predators face aux Winnipeg Jets de Nino Niederreiter, auteur quant à lui d'un assist.
