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Hockey sur glace

Chronique. Andrei Bykov rend hommage à Marcus «Couscous» Sörensen, son «magicien préféré»

Meilleur compteur de la ligue, Marcus Sörensen impressionne ses coéquipiers, dont notre chroniqueur au numéro 89

Marcus Sörensen a transformé 10 des 30 tirs cadrés qu’il a adressés depuis le début de la saison © Keystone

Andrei Bykov

Andrei Bykov

18 octobre 2023 à 15:55

Temps de lecture : 1 min

Hockey sur glace » Deuxième joueur le plus capé de l’histoire des Dragons derrière Julien Sprunger, Andrei Bykov (35 ans) connaît la maison fribourgeoise par cœur. Attaquant emblématique de Gottéron, il est le chroniqueur pour La Liberté toute cette saison. Sa 18e dans l’élite du hockey suisse.

«Trente-quatre points en 14 matches. Huit victoires d’affilée. Le début de notre saison est, on peut le dire, plutôt réussi. Nous le devons à plusieurs facteurs différents: un groupe soudé et altruiste, un soutien inconditionnel et bruyant de la part de nos supporters, un plan tactique solide mis en place par notre coaching staff et des performances individuelles de certains de mes coéquipiers. J’aimerais tous les nommer, car il y en a beaucoup, mais je ne suis pas là pour prendre une double page à La Liberté!

J’aimerais surtout relever la période faste que vit actuellement notre topscorer, Marcus Sörensen, dit «Couscous». L’homme le plus productif de la ligue, avec ses 10 buts et 6 assists. Il forme un trio extrêmement redoutable avec son compatriote suédois Lucas Wallmark et notre Connor McDavid fribourgeois, Nathan Marchon. Leur alchimie saute aux yeux et fait sauter les verrous des défenses adverses. Je suis particulièrement heureux pour Nathan, qui peut mettre en avant ses qualités de buteur et de playmaker, lui qui était trop souvent promis à un avenir de joueur à connotation défensive.

Courir le soir

Pour en revenir à «Couscous» (par rapport à Marcus, vous l’aurez sûrement compris), après une première saison durant laquelle il a vécu des hauts et des bas, il répond plus que présent et je n’en suis pas étonné du tout. Il est revenu très affûté cet été. Lors de nos discussions matinales (j’ai la chance d’être son voisin de vestiaire), il m’a confié souvent courir le soir pour trouver son rythme. Tiens, je crois que je devrais également me remettre à la course… Son instinct de buteur m’impressionne de plus en plus, lui qui s’était distingué à mes yeux avant tout pour ses qualités de passeur et de faiseur de jeu.

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