Suisse-Allemagne. Les notes des joueurs suisses

A attendu d’être certain d’arriver trop tard sur le tir d’Andrich pour plonger. Mais rien ne sert de plonger, si l’on part à point. *Euh, si la VAR fonctionne bien.

Le Schär (pa) dont la Suisse avait besoin pour gravir la montagne allemande.

ManU (mais celui de ManCity) a été exceptionnel. Pas besoin de dissoudre une Assemblée pour qu’un Manu fasse trembler tout un pays.

Un Torino, et ça repart! Bien meilleur que face à l’Ecosse, il a contribué à l’excellente prestation défensive de la Suisse.

​Malade en 2022, suspendu (pour un 2^e jaune) en 2024: Widmer est l’homme qui ne voit jamais les huitièmes de finale. Des racines écossaises? ​

Reçoit son trophée d’homme du match comme Messi son ballon d’or: peu importe la prestation.

Ne veut plus jamais, jamais, être traité de «gentil Singinois» dans les notes de La Liberté.

A rendu Bologne fier en servant Ndoye, son coéquipier en Serie A, pour le 1-0. Mais ça rigolera moins quand la Suisse éliminera l’Italie sur une triangulation Aebischer-Freuler-Ndoye

A harcelé l’Allemagne jusqu’à plus pouvoir. Mon petit Rennes. (Les amateurs de Netflix et de Ligue 1 comprendront)

Le Rocher de Monaco: inébranlable dos au but, impérial dans les duels, il a parfois manqué de justesse balle au pied.

Va passer la nuit au poste: la police allemande a annoncé avoir retrouvé Rüdiger dans sa poche.

Passé proche de l’exploit, comme son prédécesseur Petkovic il y a trois ans… Yakin a mené son équipe à oppresser l’Allemagne, avec un succès tactique certain. Mais il ne sait pas jouer la montre: il bénéficiait encore de deux changements, qu’il aurait pu utiliser dans les arrêts de jeu pour casser le rythme.

NB: Egalement entrés en jeu, Zeki Amdouni, Kwadwo Duah et Ruben Vargas n’ont pas assez joué pour être notés.