2 octobre 2024 à 17:01
Temps de lecture : 3 min
Temps de lecture : 3 min
Il fallait bien que ça arrive. Non pas que le décès de «Toto» Schillaci, disparu avant même ses 60 ans, ait été attendu, mais je sais qui c’était. Je peux même raconter le héros de 1990, son regard perçant et fougueux après un but et sa carrière qui a «duré trois semaines», comme il aimait à le dire. RIP Toto, merci pour ce que tu as été, mais pas merci pour le coup de vieux.