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Lectrices et lecteurs en Liberté

Lectrice en Liberté. Christine Schaller, Granges-Paccot


Angélique Eggenschwiler

Angélique Eggenschwiler

22 avril 2022 à 18:45

Temps de lecture : 1 min

Danseuse » Christine, 50 ans, découvre les thérapies manuelles au travers de sa carrière de danseuse qu’elle mènera jusqu’aux championnats du monde à Miami. Diplômée en massothérapie, elle ouvre le centre Ananda en 2001 en parallèle de son travail d’enseignante. Un temps partiel qu’elle abandonne dix ans plus tard pour, dit-elle, prendre son envol.

Enseignante de formation, vous avez multiplié les activités à côté de votre métier. Vous vous sentiez à l’étroit dans votre salle de classe?

En fait, je viens d’une famille d’enseignants et je n’ai peut-être pas été assez encouragée quand j’ai émis le souhait de faire un choix différent. J’ai eu du plaisir à faire ce métier mais j’avais besoin d’avoir les yeux ouverts sur autre chose, en voyageant notamment, d’avoir plus de couleurs à mon arc-en-ciel.

À commencer par la danse. Quel équilibre aviez-vous trouvé entre les deux?

J’ai commencé à enseigner à temps partiel à 21 ans en parallèle de ma carrière sportive. Je gagnais ma vie chichement, juste de quoi payer ma petite voiture et mon studio, à côté je m’entraînais deux à trois heures par jour et je participais à des compétitions suisses et internationales de danse de couple et de salon. En novembre 2000, on a gagné les championnats du monde à Miami avec mon partenaire de l’époque. Suite à ça, on a «surfé» sur notre succès pendant deux ans, on était invités pour faire des démonstrations, on a donné des ateliers à droite à gauche, puis les choses se sont naturellement calmées. C’est à cette période que j’ai commencé à me former dans les thérapies manuelles.

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