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La vie active avant l’heure

«Développer un projet est à la portée de tous. Le plus dur, c’est d’oser se lancer», témoigne Yannick Lambiel.

23 août 2021 à 04:01

Coup de cœur! » En marge de ses études, Yannick Lambiel, 24 ans, gère sa propre agence de communication, Lambiel Media.

La passion, l’audace et la confiance en soi sont autant de qualités qui ont été indispensables pour que Yannick Lambiel puisse donner vie à un projet qui lui tenait à cœur: fonder une agence de communication.

Lambiel Media a pour vocation d’aider les entreprises à accroître leur visibilité en ligne, en aidant à la conception de sites internet et de création de contenu. «Un site internet est une plateforme de mise en contact plus formelle entre le client et l’entreprise. Néanmoins, ce site ne sert pas à grand-chose s’il n’est pas visité. De ce fait, nous nous chargeons aussi d’optimiser son référencement dans les moteurs de recherche pour y apporter du trafic, et ce par le biais des réseaux sociaux et de la publicité numérique», explique l’étudiant en droit, en précisant que l’objectif n’est pas uniquement d’augmenter les ventes. «Nous développons également une image de marque afin d’ancrer une identité unique dans l’esprit du consommateur. Ainsi, nous créons une expérience, une histoire, et cela passe notamment par l’élaboration d’un logo, d’un code couleur et d’une atmosphère autour de l’entreprise.» Les services proposés sont donc très complémentaires.

L’agence ne s’arrête pas là: elle propose également un soutien stratégique et technique pour les campagnes électorales. Un domaine que Yannick connaît bien, étant lui-même membre d’un parti politique. «Comme les candidats n’avaient plus la possibilité d’aller à la rencontre de la population en raison de la pandémie, ils ont dû compenser avec le numérique, ce qui n’a fait que confirmer l’importance de ces espaces virtuels», indique-t-il.

Etant donné que l’agence est totalement numérisée, le jeune indépendant ne connaît pas de barrières géographiques dans ses collaborations. Et ses études ne sont pas un obstacle non plus: «J’ai pratiqué un instrument à haut niveau pendant une dizaine d’années, l’organisation est donc mon maître-mot. De plus, cette agence me permet de conserver ce côté artistique et créatif qui me plaît tant. J’ai donc, en somme, simplement remplacé une passion par une autre», conclut l’étudiant, tout sourire.

Samar Ayachi

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