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Toussaint. Une étude montre pourquoi se soucier de notre vie numérique après notre mort

Les données numériques disséminées de notre vivant peuvent devenir des poids pour nos proches après notre mort. Une étude TA Swiss s’est penchée sur le sujet de la mort à l’ère numérique.

Une tombe sur laquelle un QR code permet de lire les informations sur la personne enterrée.Keystone/photo prétexte

Emeric Enaud

Emeric Enaud

Aujourd’hui à 15:51, mis à jour à 16:49

Temps de lecture : 4 min

Que devient-on après notre mort? Depuis l’aube des temps, la question fait frissonner des générations entières d’êtres humains. Une question à laquelle s’ajoute au XXIe siècle un nouveau mystère, tout aussi vertigineux: que deviennent nos données numériques après la mort? Vous ne vous la posiez pas? Vous devriez! Surtout à l’occasion de la Toussaint. C’est en tout cas l’avis de Francesca Bosisio, professeure ordinaire à la Haute Ecole d’ingénierie et de gestion du canton de Vaud et à la HES-SO, qui a participé à l’élaboration d’une étude sur la «Mort à l’ère numérique», mandatée par la Fondation suisse pour l’évaluation des choix technologiques (TA Swiss). Elle tiendra une conférence sur ce thème au Collège Derrière-la-Tour, dans le cadre de Connaissance 3 Broye, mercredi 6 novembre à 14 h 30, à Payerne, et au Grenier bernois, à Morges, le 28 février prochain.