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Histoire vivante

Sur les traces des faussaires d’Egypte

Depuis le XIXe siècle et jusqu’à nos jours, les faux pharaoniques n’ont cessé de s’infiltrer dans le marché de l’art, d’habiles faussaires s’ingéniant à tromper les égyptologues. L’éclairage d’un spécialiste suisse.

La «Tête bleue». Cette sculpture de verre emblématique de la collection égyptologique du Louvre, splendeur de style amarnien acquise pour 180000 francs français en 1923 et exposée jusqu’en 2001, est un faux. L’analyse du verre, riche en plomb et arsenic, a permis de dater sa fabrication entre 1920 et 1923. Musée du Louvre/DR

Propos recueillis par pascal Fleury

Propos recueillis par pascal Fleury

17 février 2012 à 04:40

L’emblématique «Tête bleue» du Louvre à Paris, la sublime «Tête de Carnarvon» du Metropolitan Museum of Art à New York, la statue de la reine Tétichéri du British Museum à Londres, les reliefs de style memphite du Musée égyptien de Berlin: tous des faux! Dès le milieu du XIXe siècle, d’innombrables copies et pastiches pharaoniques ont inondé le marché de...

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