Sur les traces des faussaires d’Egypte
Depuis le XIXe siècle et jusqu’à nos jours, les faux pharaoniques n’ont cessé de s’infiltrer dans le marché de l’art, d’habiles faussaires s’ingéniant à tromper les égyptologues. L’éclairage d’un spécialiste suisse.
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Propos recueillis par pascal Fleury
17 février 2012 à 04:40
L’emblématique «Tête bleue» du Louvre à Paris, la sublime «Tête de Carnarvon» du Metropolitan Museum of Art à New York, la statue de la reine Tétichéri du British Museum à Londres, les reliefs de style memphite du Musée égyptien de Berlin: tous des faux! Dès le milieu du XIXe siècle, d’innombrables copies et pastiches pharaoniques ont inondé le marché de...
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