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Histoire vivante

Redorer l’image d’une Suisse d’accueil

En 1999, le Rapport Bergier sur les réfugiés avait brossé un tableau terriblement sombre de la politique d’asile de la Suisse à l’époque du nazisme. Diverses études relativisent aujourd’hui ces critiques.

Pendant la guerre, la Suisse a accueilli proportionnellement un plus grand nombre de réfugiés que les grandes démocraties. Keystone-A

Pascal Fleury

Pascal Fleury

12 août 2011 à 07:07

«La pratique suisse envers les réfugiés pendant la guerre a été largement conforme aux traditions humanitaires du pays et il n’y a pas lieu d’en avoir honte.» Cet avis bien indulgent, que l’économiste Jean-Christian Lambelet oppose aux très sévères critiques du Rapport Bergier de 1999, dans son dernier ouvrage 1 sur la Suisse pendant la Seconde Guerre mondiale, sonne comme...

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