Le blanchiment à l’anglaise se porte bien
La City de Londres brasse des sommes astronomiques du monde entier, parfois d’origine illicite. Une situation favorisée par des «spécialités» locales, tels les trusts, ainsi que par une législation défaillante.
Partager
Julie Zaugg, londres
4 novembre 2011 à 05:10
Le procès a lieu ces jours-ci: plusieurs millions de livres issus de la corruption ont été déposés dans les coffres d’une série de banques basées à la City entre 1999 et 2005 par deux gouverneurs nigérians. L’un de ces hommes a placé 1,56 million de livres à la Royal Bank of Scotland, un pot-de-vin versé par un sénateur nigérian.
Ce cas...
Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus