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Retour aux sources

À la découverte de la Reuss (UR), où «le diable se cache»

A Andermatt, découvrons la Reuss, dont l’histoire est indissociable de celle du pont du Diable

A Andermatt, la Reuss coule des jours heureux.

 Jessica Dubois

Jessica Dubois

27 juillet 2022 à 04:01

Temps de lecture : 1 min

Retour aux sources (3/6) » Cet été, remontez à la source et découvrez les lieux de naissance d’emblématiques cours d’eau de notre pays.

Parmi les cartes plastifiées que contient le porte-documents de Gerard Danioth, on en trouve une où Andermatt se taille la part du lion. Sur cette représentation, la commune uranaise est placée au cœur de l’Europe. «La région du Gothard a une position centrale comme ligne de partage des eaux au centre de la Suisse dans toutes les directions», souligne celui qui, désormais retraité, exerce avec passion la fonction de guide touristique. «Oui, les Uranais tirent une certaine fierté de cette place centrale», sourit Gerard Danioth.

Ayant grandi à Andermatt, il va sans dire que cette région, il la connaît comme sa poche. Andermatt, pour les fans de ski alpin, c’est le fief de Bernhard Russi. Mais dans la série qui nous intéresse cette semaine c’est l’endroit où les eaux de l’Unteralpreuss et celles de l’Oberalpreuss rejoignent celles de la Furkareuss et de la Gotthardreuss.

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