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Sarine

Frib’tattoo. Le retour aux sources du tatouage

La technique handpoke s’est fait une place à la Convention Frib’tattoo, ce week-end à Fribourg.

Le tatoueur Michaël Hebert travaille point par point, en trempant son aiguille dans de petits encriers.Jessica Genoud

Charles Grandjean

Charles Grandjean

2 mars 2025 à 11:16, mis à jour à 19:15

Temps de lecture : 4 min

Ces aiguilles avancent à points feutrés. Elles colorent l’épiderme sans faire de bruit. Les artistes qui les manient se réclament du «handpoke» (littéralement «piquer à la main»), une technique de tatouage sans machine qui perce peu à peu dans le milieu. Quatre praticiens du handpoke étaient ce week-end à Fribourg, parmi les 81 tatoueurs présents à la première Convention Frib’tattoo, qui s’est déroulée à la salle des fêtes de Saint-Léonard et dont les organisateurs tiraient un bilan positif à sa clôture dimanche soir.