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Pierre Rottet. Et si le pape Jean-Paul Ier avait été victime de l’extrême droite?

L’écrivain et ancien journaliste religieux publie un roman dans lequel il lie la mort du pape Jean-Paul Ier, en 1978, et le meurtre du commandant de la Garde suisse et son épouse, 20 ans plus tard.

«Je reste un activiste et un indigné», explique Pierre Rottet, qui partage son temps entre la Suisse et le Pérou.Alain Wicht – archive

Patrick Chuard

Patrick Chuard

15 octobre 2024 à 10:09

Temps de lecture : 2 min

L’indigné est en pleine forme. A 79 ans, Pierre Rottet n’a rien perdu de sa combativité. L’écrivain et ancien journaliste, jadis peintre puis activiste politique membre du Groupe Bélier, fait paraître un nouveau roman intitulé Meurtres au Vatican*. Sur près de 280 pages, l’auteur lie deux événements: la mort du pape Jean-Paul Ier, en 1978, que l’écrivain imagine être un assassinat, et le meurtre du commandant de la Garde suisse et son épouse, 20 ans plus tard, au cœur de la cité vaticane. Il y est question d’un complot de l’extrême droite, concocté avec une bonne dose de critique au vitriol contre les milieux conservateurs. Du Pierre Rottet pur jus.


  • * Pierre Rottet, Meurtres au Vatican, la conspiration. L’Amérique latine en otage (1978-1998), Ed. La Cathédral, Lima.