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Justice

Bulle. Le Tribunal cantonal confirme la restauration des fresques du Moderne

En litige avec la préfecture, le propriétaire du Moderne demandait en vain de recouvrir les peintures murales endommagées.

Les fresques artistiques avaient été détruites à 80%.Charly Rappo-archives

Charles Grandjean

Charles Grandjean

30 juillet 2024 à 16:15

Temps de lecture : 2 min

L’affaire des fresques du Moderne refait surface. Le Tribunal cantonal (TC) déboute Michel Acquaroli dans un arrêt du 3 juillet, rapporte La Gruyère. Le propriétaire du bâtiment avait en effet recouru contre une décision préfectorale de juillet 2021, qui ordonnait le rétablissement de l’état de droit pour des fresques murales endommagées dans l’édifice bullois. Cette décision mettait à la charge du recourant des frais d’expertise de 3780 francs et un émolument de 1000 francs.