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Justice. «Je me suis réconcilié avec moi-même», assure l’assassin du Castel

Le 5 avril 2010, il avait sauvagement assassiné son épouse, dont il n’acceptait pas les velléités d’indépendance. Ce Tunisien de 57 ans pourrait théoriquement être remis en liberté l’année prochaine.

Le crime abominable avait eu lieu en avril 2010 dans un immeuble de l’impasse du Castel, à Fribourg.Alain Wicht-archives

Marc-Roland Zoellig

Marc-Roland Zoellig

13 septembre 2024 à 18:03

Temps de lecture : 3 min

L’auteur d’un des crimes les plus abominables de l’histoire judiciaire fribourgeoise peut-il être soigné et réintégré dans la société? L’homme qui avait, le 5 avril 2010 à l’impasse du Castel à Fribourg, sauvagement assassiné son épouse, mère de ses deux filles, en la lardant de 14 coups de couteau, la défigurant avec un pistolet à billes avant de l’égorger puis de passer la nuit à côté de son cadavre, pourra théoriquement retrouver la liberté l’année prochaine.