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Canton

Vincent Bosson revient sur ses 100 premiers jours à la préfecture de la Gruyère

Vincent Bosson a vécu un début de mandat sur les chapeaux de roues, seul à la barre de la préfecture

Bilan 100 jours du préfet Vincent Bosson Photo Lib/Charly Rappo, Bulle, 06.04.2022Charly Rappo/Charly Rappo / La Liberté

 Claire Pasquier

Claire Pasquier

13 avril 2022 à 04:01

Temps de lecture : 1 min

Gruyère » Entré en fonction le 1er janvier, Vincent Bosson a vécu cent jours intenses à la tête de la Préfecture de la Gruyère. L’ancien lieutenant de préfet a commencé sans remplaçant, tout en menant plusieurs dossiers d’importance pour le district. En ligne de mire: le Plan directeur régional et la réflexion sur la gouvernance communale, mais aussi la future réfection du château de Bulle et la votation populaire pour un crédit de 140 millions de francs pour la construction et la réfection des EMS gruériens cet automne. Interview.

Comment se sont passés ces trois premiers mois?

Vincent Bosson: Je n’ai pas vu le temps passer. Tellement de choses arrivent, des urgences, qui font qu’il est compliqué de planifier une journée type. D’ailleurs, il n’y en a pas. J’ai l’avantage de bien connaître l’opérationnel, de compter sur une très bonne équipe, soudée, très professionnelle, qui a très bien géré le début de mandat. Le fait d’être seul reste compliqué pour affronter le quotidien. Le préfet est à l’extérieur la plupart du temps et s’il n’y a pas de lieutenant, aucune décision ne peut sortir. Malgré ces difficultés, nous avons réussi à maintenir le cap avec le personnel de la préfecture.

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