La Fédération des associations du personnel des services publics du canton de Fribourg et la section fribourgeoise de l’Association suisse des infirmiers craignent les retombées «fâcheuses» sur le personnel hospitalier des décisions de la direction de l’HFR.
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Aujourd’hui à 11:53
Quasiment un mois après les annonces de la direction de l’HFR de supprimer 90 postes et de l’arrêt de prestations sur les sites de Riaz et Meyriez, la Fédération des associations du personnel des services publics du canton de Fribourg (FEDE) et la section fribourgeoise de l’Association suisse des infirmiers (ASI) ont réagi dans un communiqué de presse commun. Elles relèvent notamment leur crainte de «l’augmentation réelle de la charge de travail pour l’ensemble du personnel hospitalier» ainsi que les effets «délétères sur la prise en charge des patients».
En ce qui concerne Riaz, la FEDE et l’ASI, révèle que des entretiens individuels ont eu lieu. «Le personnel a été invité à s’exprimer sur ses préférences, soit poursuivre l’activité en médecine interne à Fribourg ou Tavel, rester à Riaz mais dans une autre unité ou… partir.» Les deux entités concluent donc que, selon elles, «Si le HFR se refuse à parler de licenciement, il se décharge sur les choix que sera amené à faire le personnel.»
Via ces associations, le personnel témoigne de son inquiétude quant à la gestion des patients à l’avenir et dans ses conditions, notamment lors des pics saisonniers.
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