Un homme de 44 ans doit répondre du décès de son beau-père, mort en septembre 2020 après une altercation à Lucens. Sa version des faits diffère fortement de celle de son ex-épouse et de sa belle-famille.
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9 décembre 2024 à 20:58, mis à jour à 22:04
Ce 30 septembre 2020, il aurait dû assister en famille à la fête d’anniversaire de l’une de ses petites-filles. Mais c’est dans un état désespéré, entre la vie et la mort, que ce patriarche membre de la communauté yéniche a été emmené au CHUV ce soir-là. Il y succombera une dizaine de jours plus tard des suites des graves lésions cérébrales subies lors d’une violente altercation l’ayant opposé à son beau-fils et voisin, devant leurs domiciles respectif à Lucens. A l’origine de la bagarre fatale: une brouille intrafamiliale sur fond de différends professionnels qui couvait depuis des années, attisée durant les jours ayant précédé le drame par des publications dénigrantes sur WhatsApp.
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