Rien n’empêche une aide cantonale
L’arrêt du Grand Fribourg annule la manne cantonale de 100 millions. D’autres gestes sont possibles
«Beaucoup de choses me rattachent à Marly»
Le 26 septembre, les habitants de neuf communes sarinoises sont appelés aux urnes pour un vote consultatif sur la fusion du Grand Fribourg. Neuf jeunes Fribourgeois – un par commune – livrent leur avis sur ce projet et évoquent leur sentiment d’appartenance à leur commune. Quatrième épisode avec Emilie Cassard, de Marly.
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13 septembre 2021 à 15:43
Elle habite dans l’un des premiers immeubles de Marly depuis Fribourg, et jouit au quotidien d’une vue sur le Pont de Pérolles. Un pont-frontière qu’Emilie Cassard ne se contente pas de contempler. Des centaines de fois, notamment durant sa formation, cette enseignante à l’école primaire de 23 ans l’a emprunté. «Quand je passe le pont depuis Fribourg, j’ai l’impression d’être à la maison», confie-t-elle.
Vous êtes si proche de Fribourg, dans l’une des communes les mieux connectées à la capitale, mais vous restez très attachée à votre commune. Pourquoi ?
Beaucoup de choses me rattachent à Marly. J’ai fait mon école obligatoire ici, j’ai fait du sport ici. Je joue actuellement au sein de la Gérinia de Marly, la société de musique de la commune. Une grande partie de mes connaissances ont grandi à Marly avec moi.
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