Logo

Opinions

Joyeuses fêtes. Et bonne année 2025

Un parcours enchanteur vers la magie des FêtesLa Liberté

François Mauron

François Mauron

Aujourd’hui à 00:11, mis à jour à 08:44

Temps de lecture : 2 min

Chères lectrices et chers lecteurs,

L’année 2024 ne restera pas dans les annales. L’actualité internationale est une longue litanie de malheurs. En Suisse et dans le canton de Fribourg, l’économie tire la langue. Quant à la presse, elle vit des heures difficiles en raison d’une chute drastique de ses recettes publicitaires. La Liberté n’est pas épargnée. Contrainte de faire des économies, elle doit malheureusement supprimer certains de ses contenus.

Néanmoins, malgré le vent contraire, notre média poursuivra sa mission: donner au public une information de qualité sur le canton de Fribourg et la Broye vaudoise, ainsi que sur la Suisse et le reste du monde. Quitte à porter sa plume dans la plaie, là où ça démange, là où ça fait mal. Dans son fameux Bloc-notes, tenu en dernière page de L’Express, François Mauriac écrivait en 1956: «Mon rôle à moi est de déranger l’interprétation officielle des événements.» C’est ainsi que La Liberté conçoit sa vocation journalistique.

Toutefois, cela n’empêche pas notre rédaction de raconter aussi de belles histoires, qui mettent en valeur des personnalités de notre région. Et pas seulement en période de Noël. Car, même dans la tourmente, il y a des moments de répit. De bonheur. Un mot précieux, qu’il convient de faire rayonner. «Il ne faut pas avoir peur du bonheur. C’est seulement un bon moment à passer», dixit un autre écrivain, Romain Gary. Au fil de ses articles, La Liberté veut continuer aussi à vous en procurer, chères lectrices et chers lecteurs.

Joyeuses fêtes et bonne année 2025!

François Mauron, rédacteur en chef

Dans la même rubrique

Courrier des lecteurs

L’indignomètre dans le rouge…

Indignez-vous! s’écriait Stéphane Hessel il y a une quinzaine d’années. Aujourd’hui encore, les occasions de s’indigner, hélas, ne manquent pas. Il y a toutefois des événements qui, plus que d’autres, ont le don de me mettre hors de moi. Alors, il faut...