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Scènes

Critique Nuithonie. «Aria», le chant d’Icare


Elisabeth Haas

Elisabeth Haas

13 mai 2022 à 18:27

Temps de lecture : 1 min

Critique Nuithonie » Les bras sont tendus, les épaules musculeuses, les mains parfaitement alignées au sol sur une ligne imaginaire, comme si l’homme en maillot athlétique était dans les starting-blocks d’un cent mètres.

Il est en attente du départ, mais on ne peut pas dire qu’il est gonflé à bloc, et la course ne commence pas. Il déplie et replie son corps lentement, dans des mouvements d’étirement et de recroquevillement qui partent des mains s’ajustant sur la ligne de départ. On dirait un éternel recommencement. Est-ce seulement possible pour lui de décoller? Ou de démarrer?

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