Disque. La musique de Schubert entre ombre et lumière
Le baryton Samuel Hasselhorn et le pianiste Ammiel Bushakevitz livrent un florilège de lieder poignants.
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EH
Aujourd’hui à 13:00
Temps de lecture : 1 min
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Quand le baryton pleure, «sombre était mon cœur comme un tombeau», quand la douceur du piano compatit avec les inflexions de la voix, «et je demeure ici, triste et silencieuse»: on se sent peut-être moins seul, ou on ressent peut-être comme une communion des âmes. C’est Schubert qui transcrit la poésie romantique allemande en subtiles nuances musicales. Les lieder choisis...
Schubert, Licht und Schatten, Harmonia Mundi.