La compositrice fribourgeoise a fait l’objet d’un colloque cette fin de semaine à l’Université de Fribourg. La musicologue Delphine Vincent précise les enjeux de la recherche académique.
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4 octobre 2024 à 18:00
Des chercheuses et chercheurs des universités de Strasbourg, de Saint-Etienne, de Lyon 2, de la Sorbonne, de l’Ecole des hautes études en sciences sociales de Paris, en France, mais aussi de l’Université de Sherbrooke, au Canada: l’œuvre de Caroline Charrière intéresse au-delà de Fribourg et de la Suisse. «C’est une grande fierté» pour Delphine Vincent, maîtresse d’enseignement et de recherche en musicologie à l’Université de Fribourg, qui a coorganisé cette fin de semaine un colloque international consacré à la compositrice. C’est d’autant plus réjouissant qu’être une femme et Suisse constitue un double «frein» à la recherche académique.
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