Velia Ferracini. Un premier roman qui met les genres au feu, et la littérature au milieu
De sa plume inclusive, l’écrivaine sédunoise croise les genres et les destinées au pied d’un volcan islandais.
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Cela bouillonne sur la page, métaphores et symboles, colères et douleurs, vers et prose. Véritable effusion qui, à l’ombre cendreuse de l’Eyjafjallajökull, entrelace «dans des circonstances particulières» les destinées de trois personnages en quête d’affranchissement – l’une du sexisme qui l’empêche, l’autre du deuil qui l’afflige, le troisième enfin du genre qui l’encage.
Velia Ferracini, Lave mes cendres, Ed. Encre Fraîche, 270 pp. Rencontre, ve 7 mars dès 17 h, librairie l’Art d’aimer, Fribourg.