Marie-Jeanne Urech. Au milieu d’un huis clos, un frigo
L’écrivaine vaudoise achève sa trilogie effondriste avec ce portrait d’une ville traversée par un trou béant… où le lecteur tourne un peu en rond.
Partager
Aujourd’hui à 00:00
Temps de lecture : 1 min
Temps de lecture : 1 min
Surréalisme? Science-fiction? Fantastique? On a souvent cherché à saisir la prose de Marie-Jeanne Urech par le prisme d’un genre – et souvent on a échoué car tout déroute dans ses fables sombres et drôles, tendres et violentes. «Expressionnisme pudique», propose ici le postfacier Pierre Yves Lador, trouvaille oxymorique qui dit bien la force contenue de ces allégories suspendues entre rire et larmes, Vian et Kafka.