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Transformers: Le commencement. Un agréable divertissement à l’étonnante portée politique

Les Transformers reviennent dans un film d’animation aux thèmes étonnamment adultes. Comme quoi un divertissement familial peut aussi avoir du cœur et des idées.

Optimus Prime dans ses œuvres.Warner

Olivier Wyser

Olivier Wyser

Aujourd’hui à 10:34, mis à jour à 12:04

Temps de lecture : 2 min

C’est avec appréhension qu’on aborde ce nouvel épisode de la saga Transformers. Il faut dire que les volets cinématographiques de cette licence - à l’origine des jouets - n’ont pas toujours brillé par leur subtilité. Ces films pétaradants réalisés et/ou produits par Michael Bay représentent même pour beaucoup le degré zéro du blockbuster. Première bonne surprise, il ne s’agit plus d’un film en prise de vue réelle mais d’un long-métrage d’animation. Un genre qui semble plus adapté pour narrer les aventures de robots transformables. Ensuite on retrouve à la barre un certain Josh Cooley, réalisateur du très bon Toy Story 4. Jusqu’ici les voyants sont au vert.