Transformers: Le commencement. Un agréable divertissement à l’étonnante portée politique
Les Transformers reviennent dans un film d’animation aux thèmes étonnamment adultes. Comme quoi un divertissement familial peut aussi avoir du cœur et des idées.
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Aujourd’hui à 10:34, mis à jour à 12:04
C’est avec appréhension qu’on aborde ce nouvel épisode de la saga Transformers. Il faut dire que les volets cinématographiques de cette licence - à l’origine des jouets - n’ont pas toujours brillé par leur subtilité. Ces films pétaradants réalisés et/ou produits par Michael Bay représentent même pour beaucoup le degré zéro du blockbuster. Première bonne surprise, il ne s’agit plus d’un film en prise de vue réelle mais d’un long-métrage d’animation. Un genre qui semble plus adapté pour narrer les aventures de robots transformables. Ensuite on retrouve à la barre un certain Josh Cooley, réalisateur du très bon Toy Story 4. Jusqu’ici les voyants sont au vert.