Aujourd’hui à 00:00
Ce sont de pauvres cartes en carton, peuplées d’étranges créatures qui portent des noms à coucher dehors. Elles coûtent un bras mais font la joie des têtes blondes. De la cuisine au salon, c’est tout un bestiaire qui s’éparpille quotidiennement sur le sol. Car ces pauvres cartes s’admirent. Et se commentent aussi. Il y a les moches, celles qui font...
Contrairement à mon collègue Bertrand, je n’ai rien contre le progrès. Je suis bien heureux de ne plus avoir à m’introduire de thermomètre au mercure dans le fondement. Soulagé aussi de ne pas devoir enlaidir ma façade d’une antenne satellite pour capt...
