angélique eggenschwiler
25 mars 2017 à 05:00
Le mot de la fin
C’est un roman cousu de drames et de poésie. Il y a Césarine, silencieuse et coupable; la Vieille, flétrie par la rancune et les années; puis Pierre et ses poignets fragiles, son cœur brisé par la Garce qui lui préfère les caresses de l’Etranger. Ça se passe à la campagne, celle de Ramuz ou de Zola,...
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