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Le mot de la fin

Chronique. Un peu de route avec le tueur du taxi

A Ispahan, pour de jeunes voyageurs étrangers, tout roulait ce jour-là…Mostafa Meraji/Unsplash

Michaël Perruchoud

Michaël Perruchoud

3 juin 2024 à 13:58

Temps de lecture : 3 min

Nous nous étions levés un peu tard à Ispahan, ce matin-là. Et les embouteillages qui engorgeaient la cité nous avaient empêché d’arriver à temps. A la gare routière, nous avions constaté que le car à destination de Yazd ne nous avait pas attendus.