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Le mot de la fin

Chronique. Ode à un Fribourg Olympic fraternel

Lorsque le coach Thibaut Petit leur parle, ses joueurs voient les choses en grand.
Keystone

Marc Aebischer

Marc Aebischer

2 mai 2024 à 18:09

Temps de lecture : 3 min

Dans la vie, il y a les théâtreux et les taiseux, les réjouis et les pisse-vinaigre, les conquérants et les tragiques. «Il faut de tout pour faire un monde» chantait-on dans le générique d’Arnold et Willy, célèbre feuilleton des années 1980.


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