angélique eggenschwiler
29 décembre 2017 à 05:00
Le mot de la fin
Il est 7h58. La ville se réveille doucement, une poignée d’étudiants traîne gueule de bois et cahiers de notes dans les bus déjà bondés.
J’ai rendez-vous chez le dentiste. Je trempe mes caries dans le café du centre commercial qui héberge mon médecin en observant les premiers clients aux aguets, leur tintébins à l’arrêt devant les portes...
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