angélique eggenschwiler
22 octobre 2016 à 07:00
le mot de la fin
On est samedi, les commerces ferment dans trente minutes et je n’ai plus de café. Je passe en revue mes placards pour m’apercevoir que toutes mes réserves se sont sournoisement épuisées. En ouvrant le frigo, je dois me résoudre à l’évidence: entre le sourire narquois d’une carotte oubliée et les contorsions d’un vieux tube de mayonnaise,...
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