angélique eggenschwiler
17 mars 2018 à 05:00
Le mot de la fin
Aux alentours de 1890, Jean-Louis Théodore Gentilz installe son chevalet face à Fort Alamo, témoin quelques décennies plus tôt d’un siège sanglant qui pavera la route du Texas vers l’indépendance. Le peintre français dégaine pinceaux et patience pour tracer les contours de l’ancienne chapelle.
Des hommes s’agitent dans cette chaude fin de journée du XIXe siècle. Ça...
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