8 juillet 2023 à 04:01
Le mot de la fin
La première fois que je suis entrée, j’étais terrorisée. Autour de moi, une quinzaine de barbus tout aussi épouvantés, surveillant d’un œil inquiet le moment où je partirais en combustion spontanée. Moment où, comme toute femme normalement constituée, je me transformerais en béluga à la vue d’un pissoir, des larves me sortiraient des yeux, ou, pire...
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