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Le mot de la fin

Chronique. Faudrait-il mieux élever ces lapins?

Heureux lapinous, ils l’ignorent: leur espèce sera peut-être associée à une taxe. © Siegfried Poepperl/Unsplash

Scarlet Cavassini

Scarlet Cavassini

12 février 2024 à 02:10

Temps de lecture : 1 min

Si vous croyez être les seuls! Il m’arrive aussi d’écouter les nouvelles à la radio française. C’est ainsi que j’ai tendu l’oreille, l’autre matin, en entendant nos grands voisins parler de l’instauration d’une «taxe lapin».

Quelle jolie appellation! Un lapin, c’est doux et mignon. Ça sonne bien, lapin, et ça promet presque une taxe agréable. Mais taxer quoi?

Les lapins étant connus comme les champions de la reproduction, j’ai pensé d’abord au problème démographique. Comme les Français ne font plus assez d’enfants, leur gouvernement veut-il encourager la procréation pour renflouer les caisses de retraite? La «taxe lapin» imposera-t-elle des malus à chaque partie de jambes en l’air avec contraception?

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