angélique eggenschwiler
7 novembre 2016 à 05:00
le mot de la fin
Je n’ai pas de compte Facebook. Ni avatar, ni pseudonyme, et pas beaucoup d’amis à l’échelle d’Instagram. J’existe à moitié donc, moitié moins que mes congénères parce que le monde réel ça pèse pas beaucoup, parce que sans WhatsApp on n’existe plus.
C’est bizarre la technologie. On tasse notre vie dans un portable, on compte ses amis...
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