angélique eggenschwiler
30 septembre 2017 à 07:00
Le mot de la fin
C’était il y a quarante ans. Aux environs de midi, un cri retentit dans une aile de l’hôpital. C’est un midi de septembre dans une clinique neuchâteloise et c’est le cri d’un nouveau-né. La sage-femme dépose alors trois kilos de pleurs et de promesses sur le ventre de la jeune maman épuisée.
Au même instant, à des...
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