angélique eggenschwiler
4 septembre 2017 à 07:00
Le mot de la fin
Les touristes sont des convoyeurs de l’infime. Ils sèment des pellicules dans un hôtel espagnol et ramènent des crottes de mouettes andalouses sur leur pare-brise. Ils amassent des cailloux perpignanais dans leurs espadrilles comme autant de petits bouts d’Occitanie qui s’incrusteront ensuite dans la mollasse fribourgeoise.
Voici une dizaine de jours, je vous emmenais à Palavas-les-Flots à...
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