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Hockey sur glace

Un poil à gratter qui doit repousser

Convaincant l’année de son arrivée à Gottéron, écarté la saison dernière, Daniel Brodin se reconstruit

Daniel Brodin: «Plus tu joues, plus les automatismes reviennent.»

 Pierre Schouwey

Pierre Schouwey

14 septembre 2021 à 04:01

Temps de lecture : 1 min

Hockey sur glace » «Brodin joue avec beaucoup d’intensité. Il a de la vitesse, fonce droit sur le but, tire bien et joue l’homme. C’est un joueur précieux pour n’importe quelle équipe.» Lire la description de Daniel Brodin sur Elite Prospect, une base de données dans laquelle sont répertoriés les joueurs de hockey du monde entier, c’est se rappeler au bon souvenir du bonhomme qu’il a été lors de sa première année à Fribourg. «Daniel appartient à une catégorie différente d’étrangers. Avant toute chose, j’attends de lui qu’il mette de l’énergie dans notre jeu», déclare Christian Dubé, qui n’oublie pas ce qu’il doit à son N°34,

Mal en point début 2020, Gottéron et son entraîneur/directeur sportif (alors en sursis) avaient été poussés vers les play-off par le trax scandinave, auteur de 8 buts durant le seul mois de février. Et puis, patatras! Le poil à gratter fribourgeois a été rasé dans son élan par la pandémie et l’arrivée d’un autre trublion, plus terrible encore. Avec Chris DiDomenico mais aussi Ryan Gunderson, Viktor Stalberg et David Desharnais, le moins talentueux des cinq étrangers à disposition du staff de Saint-Léonard a été invité à aller assister dans les tribunes vides à l’excellent championnat des Dragons. Ça, pour un changement de décor…

 

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