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Société

Laurent Rosset prévient. «Le cancer du sein ne fait que rarement mal»

La sensibilisation au cancer du sein bat son plein en octobre. Mais quand et comment s’en soucier?

Mammographie, IRM mammaire et ultrason sont les trois examens possibles pour détecter un cancer. © Christophe Bosset-Archives

Claire Pasquier

Claire Pasquier

12 octobre 2023 à 16:20

Temps de lecture : 1 min

Santé » Tout le monde connaît de près ou de loin quelqu’un qui en a souffert. Le plus répandu, et de ce fait le plus meurtrier, le cancer du sein représente un tiers des cancers chez les femmes. Dans le canton de Fribourg, 250 nouveaux cas sont décelés chaque année et selon la Ligue contre le cancer, 6500 femmes en Suisse sont touchées annuellement pour 50 hommes.

En octobre, le rose s’invite ainsi dans le nuancier des couleurs automnales pour sensibiliser au dépistage, notamment par la mammographie et par l’autopalpation (voir infographie). Mais à quel âge faut-il s’en préoccuper? Pourquoi? Qui sont les personnes à risques? «Le dépistage n’est pas magique et ne marche pas à 100%, mais il a l’avantage de réduire un peu la mortalité et surtout la morbidité.» Oncologue et directeur du Centre du sein Fribourg, le médecin Laurent Rosset insiste surtout sur l’importance de connaître son terrain génétique familial.

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