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FIFA: le procès sur la Coupe du monde 2006 à nouveau reporté

Le début (avorté) du procès autour de la Coupe du monde de football de 2006, lundi 9 mars à Bellinzone, avait été entouré de mesures de contrôle particulières en raison de l'épidémie de coronavirus. © KEYSTONE/Ti-Press/Samuel Golay
Le début (avorté) du procès autour de la Coupe du monde de football de 2006, lundi 9 mars à Bellinzone, avait été entouré de mesures de contrôle particulières en raison de l'épidémie de coronavirus. © KEYSTONE/Ti-Press/Samuel Golay
Le début (avorté) du procès autour de la Coupe du monde de football de 2006, lundi 9 mars à Bellinzone, avait été entouré de mesures de contrôle particulières en raison de l'épidémie de coronavirus. © KEYSTONE/Ti-Press/Samuel Golay
Le début (avorté) du procès autour de la Coupe du monde de football de 2006, lundi 9 mars à Bellinzone, avait été entouré de mesures de contrôle particulières en raison de l'épidémie de coronavirus. © KEYSTONE/Ti-Press/Samuel Golay


Publié le 18.03.2020


Le procès sur des versements douteux à l'occasion de la Coupe du monde de football de 2006 ne peut toujours pas se tenir à Bellinzone en raison du coronavirus. Les débats devant le Tribunal pénal fédéral (TPF) ont été reportés au moins jusqu'au 20 avril.

Avec ce nouveau report annoncé mardi soir par le TPF, une prescription de l'action pénale paraît toujours plus vraisemblable puisque les juges devraient rendre leur verdict d'ici au 27 avril.

La procédure vise trois ressortissants allemands ainsi qu'un citoyen suisse. L'ancien président de la Fédération allemande de football (DFB) Theo Zwanziger (74 ans), son secrétaire général Horst R. Schmidt (78 ans) et le Suisse Urs Linsi (70 ans), ancien secrétaire général de la FIFA, répondent d'escroquerie.

Quant à Wolfgang Niersbach (69 ans), un autre ancien président de la DFB et porte-parole du comité d'organisation de la Coupe du monde de 2006 en Allemagne, il est inculpé pour complicité.

Le procès a été d'emblée placé sous le signe du coronavirus. MM. Zwanziger et Schmidt n'avaient pas comparu à l'ouverture des débats le 9 mars et avaient présenté une attestation. M. Niersbach s'était lui mis volontairement en quarantaine, un cas de COVID-19 ayant été enregistré dans l'école fréquentée par son beau-fils, âgé de 14 ans.

ats, dpa

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